un extrait d un livre paru vers 1950

Catégories : Femmes soumises sexuelles Enema Lavement / Médical
il y a 2 semaines

J’ai épousé une jeune fille de dix-neuf printemps, Arlette, blonde aux cheveux ondulés, orpheline en charge de ses deux sœurs, Suzy treize ans, fillette brune aux cheveux longs et Nicole neuf ans, blonde comme sa grande sœur, mais avec les cheveux raides.

Dans des styles différents, elles sont toutes les trois jolies et partagent des rondeurs fessières splendides.

J’ai cueilli une virginité ardente et sensuelle ; dès le début de notre union, Arlette se montra une jouisseuse gourmande et insatiable.

J’ai très vite connu les petits derrières de ses deux sœur, ma femme ne se gênant pas pour les fesser, prendre leur température, leur administrer des lavements en ma présence. Par contre, elle m’a fait comprendre que je ne devais jamais toucher aux petites. En même temps que les derrière, j’ai pu contempler leurs merveilleux petits abricots.

Au bout de quelques mois, j’ai commencé à passer mes doigts entre ses globes lors de nos ébats, passant un doigt sur son œillet. Elle ne se déroba pas…

Je la basculait en travers de mes genoux, tapotais la mappemonde, doucement puis de plus en plus fort,

  • tu crois que j'ai mérité la fessée ?

  • Une fille mérite souvent la fessée ; ceci pour te prévenir que je n'hésiterai pas à y recourir !

Je cessais puis écartais les deux joues, suçait mon index, le posait sur la rondelle, appuyais, l’orifice s’ouvrit, mon doigt pénétra doucement,

  • oooh oui, plus loin…

  • tu a l’air d’aimer ça,

  • Cela tient peut-être au fait que ma mère me prenait fréquemment la température et me donnait souvent des lavements ; la pénétration du thermomètre ou de la canule me chatouillait agréablement ; en grandissant il m’arrivait de dérober l'un ou l'autre dans la salle de bain lorsque j’étais seule et de me les fourrer au bon endroit.

  • et les petites, elles apprécient aussi ?

  • Elles ne me disent rien, mais je me suis rendue compte que le thermomètre et la canule font suinter leur petit coquillage ; alors comme maman, je leur prends assez souvent la température… Peut-être qu’un jour je te permettrais de le faire ; je suis sûre que ça ne leur déplairait pas…

  • Je pense que tu possèdes ce qu’il faut.

  • naturellement. Je n’abuse pas des lavements, mais j’utilise le thermomètre cela m’excite, je me prends la température d’une main et me branle de l’autre.

  • J’aimerais te donner un lavement.

  • Vrai ! Oh ! mon chéri, je n’ose y croire...

  • Mais avant tout, je vais prendre ta température.

Je relevai Arlette,

La laissant je gagnai la salle de bains où je trouvai le nécessaire, je préparai le bouillon pointu et revins tenant le bock et une serviette éponge. Je posai l’ustensile sur la table de nuit, m’assis au bord du lit, demandai à Arlette de se placer entre mes genoux en me tournant le dos et en se penchant en avant en travers de mes genoux.

J'ouvris le tiroir de la table de nuit ou je savais trouver un thermomètre, le sortis de son étui, le secouais longuement, le suçais pour l'enduire de salive.

De deux doigts j'écartai largement les fesses de mon épouse, découvrant à nouveau son oeillet plissé sur lequel je posais l'extrémité du thermomètre. Je poussai doucement sur le tube de verre qui glissa très profondément dans le fondement d'Arlette ;

  • aieee ! Doucement, pas si loin !

  • La, calme toi je l’ai enfoncé aux trois quarts ; il faudra t’habituer à le recevoir encore plus profondément la prochaine fois. Maintenant attendons dix minutes.

Au bout de deux ou trois minutes, j'entamai un va-et-vient avec l'instrument médical que mon épouse accompagna de mouvements de sa croupe.

Je retirai le thermomètre, sans même le regarder…

Je m’emparai de la longue canule effilée d’ébonite que j’introduisis lentement dans le tunnel de la ma jeune femme en totalité. Je la forçai à écarter les cuisses et je m’aperçus qu’effectivement les pénétration de la canule dans son fondement provoquait le même flot abondant de ses sécrétions intimes poissant les poils de sa vulve qu’avec le thermomètre. Je la sodomisais doucement jusqu’à ce que la jouissance s’empare de son être. A l’instant où elle déchargeait j’ouvris le robinet faisant pénétrer l’eau dans son ventre.

Lentement le bock se vida. Le récipient contenant deux litres, l’opération nécessita un certain temps ; à l’issue de la dernière goutte je laissai quelques minutes la canule dans le rectum, puis l’ôtai lentement. Aux crispations de ses fesses je me doutais que la jeune fille désirait le plus rapidement possible gagner les cabinets. Mais je la retins. Elle me supplia de lui permettre d’aller se soulager et ; tout en implorant sa grâce, elle se dandinait, trépignait, serrant les cuisses, retardant le moment qu’elle sentait venir d’une façon inéluctable. Au lieu de 1a laisser, je 1a forçai à ouvrir les jambes me régalant de ses contorsions, mais surtout de celle de sa croupe. Le ventre tenaillé par le besoin urgent de restituer l’eau contenue dans ses intestins, son derrière ne cessait de frémir et les soubresauta de son joufflu, les frissons de l’épiderme de sa lune, conféraient à son arrière-train une émouvante beauté que ma plume ne peut dépeindre.

Les mouvements convulsifs de son pétard me ravissaient ; je ne pouvais détacher mes regards de cette masse de chair ne cessant de vibrer. Pour agrémenter l’envie de Arlette, je caressai ses hanches. Elle se tordait, geignant, suppliant, la lueur baignant son front et son cul à présent bondissait littéralement.

Je pressentis la conclusion de cette danse fessière ; effectivement ne pouvant plus contenir son envie, Arlette rejeta l’eau de ses entrailles, inondant de sa mignonne culotte bleue ciel et le parquet de la chambre de sa matière fécale diluée par le liquide.

Dès la restitution du lavement j’avais séparé ses fesses pour voir jaillir de son oeillet le jet puissant de couleur brune.

Atterrée, Arlette, après son désastre, resta les jupes levées, n’osant plus bouger, d’autant que l’eau merdeuse avait coulé le long de ses jambes souillant ses bas. Je l’obligeai à se traîner jusqu’aux cabinets où après l’avoir placée sous mon bras je la torchai comme une gosse ayant fait caca à la culotte.

Ensuite je la ramenai à la chambre, je 1a déshabillai et la couchais

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